Depuis plus de trente ans, Gil Bernardi donne le sentiment de ne pas avoir compris une réalité pourtant évidente pour tous les habitants : Le Lavandou et Bormes-les-Mimosas partagent le même territoire, la même histoire et le même bassin de vie. Nous ne sommes ni adversaires ni concurrents, mais voisins, partenaires, parfois familles, souvent amis.
Je l’ai toujours dit : l’émulation, la stimulation mutuelle, tout comme la coopération, sont de puissants moteurs de dynamisme et d’innovation pour un territoire. L’ancien sportif que je suis ne peut pas dire le contraire. Dans le sport comme dans la vie publique, on progresse en se confrontant, en se comparant, en se challengeant — mais jamais en se dénigrant ou en s’opposant artificiellement. Ce qui fait grandir un territoire, ce n’est pas la division, c’est l’intelligence collective et le respect mutuel.
Pourtant, au lieu de construire des coopérations utiles et intelligentes, le maire sortant choisit régulièrement la confrontation. Il oppose, il divise, il entretient des tensions artificielles entre nos deux communes. C’est exactement l’inverse de ce que réclament aujourd’hui les Lavandourains, lassés de ces postures stériles et contre-productives.
Cette polémique récente, entièrement créée par Gil Bernardi, en est une illustration supplémentaire. Afin que chacun puisse se forger une opinion éclairée, je publie ici l’ensemble des articles de presse concernés ainsi que la réponse que j’ai adressée à Var Matin. Vous y trouverez les éléments nécessaires pour comprendre les faits, le contexte et les enjeux réels de ce dossier.
