En février dernier, notre maire et les médias était en liesse, cela faisait les grands titres : la plage de Cavalière a, paraît-il, “réapparu miraculeusement en une nuit”. On en aurait presque vu des auréoles au-dessus des grains de sable. Gil Bernardi, notre maire-poète, y voyait même “une bénédiction” en direct sur BFM. Rien que…
